Ecriture

Cette semaine, je fus particulièrement paresseux - en dehors de mes heures de travail, s'entend. Cela vaut pour ce blog également. Alors, plutôt que de laisser mes avides lecteurs en plan, je poste une nouvelle que j'ai écrite pour un concours que je n'ai pas gagné. Vous la trouverez ici (Merci l'atelier Ananta).
Cela me permet de me demander si je peux le faire car j'ai "cédé mes droits" pour une période de 3 ans à dater du concours. Qu'est-ce que cela veut dire ? Je ne peux plus faire lire mon texte à mes amis ? Je n'ai pas le droit de toucher un franc grâce à lui ? Le publier gratuitement sur mon blog me met-il dans l'illégalité par rapport au règlement ?
Pour rendre à César ce qui appartient à César, je mentionne tout de même :

• le texte du-dit règlement
  "Du fait de sa participation au concours, le lauréat cède entièrement à l'organisateur pour une période de trois ans ses droits sur le texte envoyé. Il accepte par anticipation toute publication complète ou partielle de son texte, laquelle ne sera pas rétribuée, quel que soit le support (presse écrite, radio, télévision, réseau Internet, etc.). À chaque publication, le nom de l'auteur sera mentionné."
  
• l'organisation qui bénéficie des droits pour encore 2 ans : la maison de la francité.

Ah, c'est beau quand même un monde où on pousse à l'innovation par une judicieuse protection des droits intellectuels. Bon, j'admets que l'idée du concours est très sympa et pousse bel et bien à l'innovation. Je m'emporte, de nouveau...